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"Oolalaaa, on rigole"... La Cour de Cassation ne rit plus

  • maboussard
  • 15 nov.
  • 1 min de lecture

La Cour de cassation vient de le préciser : 


des propos sexistes répétés, injurieux ou rabaissant, même “tolérés” par le passé, justifient le licenciement pour faute grave du salarié. 



❌ Le message est clair : ce type de relation au travail est une faute et la complaisance de l’entreprise n’est plus une stratégie, mais un manquement à l'obligation de sécurité. ❌ 



Avec Elodie Auffret, nous avons déjà accompagné des dirigeants à agir avant qu’il soit trop tard : clarifier les règles, protéger, former les équipes, instaurer une culture du respect et du courage managérial, à tous les niveaux de l'entreprise.



Mais aussi, quand le pire arrive, à agir sans tarder, à préserver les équipes et la responsabilité du dirigeant, reconstruire la confiance et recréer du lien pour retrouver l’efficacité perdue. 



Parce qu’un dirigeant sincère et responsable n’a pas besoin d’un texte ou d’une jurisprudence, 👈 


Il crée un environnement juste, sûr et exemplaire. 



C. Cass 17 septembre 2025, n. 24-14.263



Crédit photo : Freepik.



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